Covid-19: Appel à la vigilance avant les examens de fin d’études primaires

Les examens nationaux de fin d’études primaires ont lieu la semaine prochaine, du 12 juillet au 14 juillet 2021, avec un total de 254.678 candidats. Les épreuves doivent pouvoir conserver toute leur valeur, tout en se déroulant dans les meilleures conditions possibles, avec un maximum de protection contre la COVID-19.

Bernard Bahati, le Directeur Général de l’Autorité nationale d’inspection des examens et des écoles (NESA, sigle en anglais), a déclaré dans un point de presse virtuel que les candidats et toutes les personnes impliquées dans les examens nationaux devraient être vigilants, respecter les gestes barrières, se souvenir de toutes les directives de lutte contre la Covid-19 et être en sécurité.

“Comme chaque école le fait depuis le début de la pandémie, en prenant toutes les précautions nécessaires comme le lavage des mains, la distanciation sociale, nous nous attendons à ce que ces réglementations continuent pendant les examens nationaux”, a-t-il déclaré.

“Tous les centres sont prêts, et les examens sont déjà distribués aux différents centres du pays, et les centres ont reçu toutes les instructions nécessaires”, a-t-il ajouté.

“Nous avons augmenté le nombre de centres en attribuant 1.021 centres pour les examens nationaux de 3.135 écoles primaires, par rapport aux 938 centres que nous avions alloués en 2019.  C’est parce que nous voulons que les candidats aient plus d’espace, respectent la distanciation physique et sociale pour atténuer la propagation de la Covid-19”, a-t-il précisé.

Cependant, tous les candidats sont priés de se rendre dans leurs centres respectifs ce dimanche 11 juillet pour recevoir des instructions sur les examens nationaux et être affectés à leurs sièges respectifs.

Bernard Bahati a déclaré qu’il n’y aurait pas de mouvements interdistricts car chaque district a ses propres centres d’examen et aucun mouvement ne sera effectué par les candidats. A noter que les déplacements entre les districts du pays sont prohibés par la protocole sanitaire mis en place par le Rwanda pour contrer une troisième vague de la pandémie qui fait des ravages depuis le mois de juin. (Fin)